Magnétiseur Pour Femme - La Louise"
Cette histoire est une suite de celle publiée le 28 06 2012.
2 "La Louise" a -
Comme je lai raconté dans le précédent chapitre ("1 La Jeannette"), quand jétais
ado, jai travaillé pour un job dété chez un voisin de mes parents, un magnétiseur
radiesthésiste, qui faisait office de "médecin", comme il en existait dans la France
rurale profonde où nous habitions alors. Moyennant quelques subsides, il mavait
établi un espace "sous lescalier", pour répondre au téléphone et pour introduire les
clients dans sa salle à manger, transformée en cabinet médical
Et là, grâce à une
petite imposte, je pouvais mater tout à loisir dans le dit cabinet, les "patientes"
quil recevait et dont certaines étaient vraiment dignes dintérêt
Un jour, jintroduisis une cliente qui allait se révéler particulièrement
intéressante, comme vous allez pouvoir le constater. Cétait une grande femme, assez
forte, un peu "hommasse", qui malgré sa quarantaine paraissait à mes yeux dado de 16
ans beaucoup plus âgée. Le type même de la paysanne venue tout droit de sa ferme et
exclusivement occupée de ses champs, de ses récoltes et de ses troupeaux. De prime
abord, je ne lavais pas retenue comme susceptible dêtre une "cliente intéressante".
Au point que dès quelle fut entrée dans "le cabinet", je ne me précipitais pas sur
mon imposte, comme cétait souvent le cas. Cependant je tendais loreille pour
entendre, à travers la porte, lobjet de la visite de la dame. Je vous en résume
lessentiel :
Louise, cétait son prénom allait, se marier, la quarantaine allègrement
dépassée, sans jamais avoir connu dhommes dans sa vie. Elle appréhendait de se
retrouver face à un mari sans avoir reçu quelques conseils
-" Il faut vous dire, docteur, que depuis mes 14 ans jai toujours travaillé à la
ferme avec mes parents.
Ma mère est morte voici sept ans et ben sûr que je ne va pas demander à mon père ces
conseils là. Dailleurs il est sourd comme un pot et je ne suis pas sûre quil me
répondrait !... Comme il est vieux et quil ne peut plus travailler, et vu que je ne
peux plus y arriver toute seule, je suis ben obligée de me mettre en ménage. Ca
coutera moins cher quun ouvrier !... "
Bernard (le magnétiseur donc) ne savait sans doute pas trop quoi dire à cette femme,
car je ne lentendis pas répondre dans le silence qui suivit. La Louise continuait :
- " Jme suis dit que sil y avait quelquun qui pourrait me conseiller là-dessus, ma
pauvre mère nétant plus là, il ny avait que vous !... " Bernard se décida enfin :
- " Je comprends bien chère madame, mais je pense que des personnes de votre
connaissance, des amies, des voisines
, je ne sais pas moi
, des femmes quoi, et
mariées de préférence, pourraient sans doute vous conseiller plus utilement
"
- " Pensez-vous docteur ! Que je va men aller voir les voisines ?!...Sûrement pas
!... Elles seraient bien trop contentes de sen faire des gorges chaudes et quen
moins de deux, je serai la risée de tout le pays ! Ah ben ça non, alors !!
Cest mon
vieux père qui ma dit : "Si quelquun peut taider cest lui. Vas le voir et parle-
lui
" Y a que vous docteur, jvous dis !!... "
- " Certes, certes, répondait Bernard, pensif et dont je devinais à son timbre de voix
que ce projet ne lemballait pas vraiment, je comprends mais peut-être pourriez-vous
en parler à votre futur mari
Sans doute a-t-il une expérience de la chose
"
- " Justement !... Vous voulez que je passe pour une idiote ?!... Vous trouvez peut-
être que je nen ai pas assez lair comme ça ?... Et en plus je ne suis sûre de rien
; cest un vieux célibataire de 15 ans plus âgé que moi.
soixantaine, mais je ne sais pas sil a eu des expériences
Et si jamais cétait le
cas, jaimerais faire jeu égal avec lui, plutôt que de passer pour une oie blanche !
"
- " Bien, lui répondit Bernard qui devait savouer vaincu en son fort intérieur, que
souhaitez savoir au juste, chère madame ? "
- " Tout, lui rétorqua la Louise, tout
Je connais que ce jai pu surprendre de mes
parents, quand je les entendais faire leurs affaires dans la chambre à côté
Et je
dois dire que cela remonte à loin
Si loin, que je ne sais plus si je men souviens
encore !... "
- " Bon, dit Bernard visiblement résigné. Alors commençons par le début. Vous avez
déjà vu le sexe dun homme !... "
- " Deux ou trois fois celui de mon père. Lorsquil lui arrivait de pisser dans les
champs, jai pu lapercevoir à son insu quelques fois
"
- " Bien, bien fit Bernard dun air songeur, car il devait mesurer lampleur du
travail à faire. Madame, combien de fois à peu près, vous masturbez-vous par semaine
?..."
- " Que je me quoi ?... " demanda la Louise qui ne semblait vraiment pas comprendre. A
ce point de la conversation, les choses me semblèrent devenir plus intéressantes et je
montais sans plus attendre à mon observatoire : limposte, je le rappelle, donnant
sur "le cabinet" du magnétiseur.
- " Je veux dire, combien de fois vous touchez- vous le
le sexe
"
- " Ah oui !... Eh ben une, ou parfois 2 fois par semaine, quand je me lave là,
docteur ". Elle faisait le geste vers son bas-ventre.
- " Oui, enfin je veux dire
Est-ce quil vous ait arrivé de vous donner du plaisir en
vous touchant là, justement
"
La Louise parut hésiter un instant. Puis elle dit de façon très naturelle :
- " Du plaisir ?! Jsais pas !... Mais il me semble docteur, que je vois ce que vous
voulez dire !... " Bernard parut soulagé par la réponse de Louise qui ajouta :
- " Il arrive que ça me démange fortement, là sur le haut
Le haut du
, du sexe comme
vous dites
Au point que je suis obligée de me frotter, frotter longuement jusquà ce
que cela sapaise.
périodes justement ! Et sauf votre respect, docteur, il mest même arrivé de me mettre
à califourchon sur le portillon du jardin ou de prendre le manche de la fourche ou du
balai pour me calmer la démangeaison ! Vous voyez ce que je veux dire docteur
"
- " Je vois parfaitement, dit Bernard décidé à affranchir la dame. Je dois aussi vous
dire ma chère Louise quil est très normal que cela vous démange à cet endroit et
quil est indispensable de bien se frotter !... "
- " Ah bon, continua Louise, donc ce nest pas grave docteur ?... "
- " Absolument pas !..., affirma Bernard. Cela sappelle se masturber, se branler si
vous aimez mieux !... Et cest absolument nécessaire
Surtout dans votre cas !
Je
vais vous montrer ça plus en détail tout à lheure
"
- " Docteur, vous voyez que jai eu raison de madresser à vous !... Vous mexpliquez
tout comme il faut
Et comme je vois que vous êtes bien disposé et que vous êtes
gentil avec moi, si josais, je vous demanderais de mexaminer là et me dire si cest
en état
Enfin en état de marche, je veux dire ! Docteur, vous savez, je me suis bien
lavé tout exprès avant de venir, alors
"
Elle sétait mise debout et commençait à se trousser. Elle avait mis des bas très
noirs qui contrastaient énormément avec la peau très blanche de ses fortes cuisses.
Doù jétais, en face delle et bien que surplombant la salle, je distinguais des
sortes de lanières noires le long des cuisses, qui semblaient retenir ses bas.
Assortiment dont jappris plus tard quil sagissait de portejarretelles
Que lon me
pardonne, mais à 16 ans, on ne sait pas tout !
Louise avait remonté haut sa robe et se présentait à Bernard en petite culotte. Et
quand je dis "petite", cest une façon de parler. En effet, la dite culotte était
immense, sans doute était-elle serrée aux jambes par un élastique, car elle pendait
derrière et débordait sur ses cuisses en tous sens
Même de mes 16 ans et sans avoir
beaucoup de repères de comparaison, je ne trouvais pas cela très sexy ; je dirai même
: pas bandant du tout
Je pense que Bernard était dans le même état desprit que moi,
et souhaitait remettre à plus tard lexamen demandé, puisquil remit lui-même la robe
en place en disant :
- " Oui Louise, nous allons voir ça bientôt !.
me disiez si vous avez déjà eu en main un sexe dhomme ?..."
- " Bien sûr que non, docteur, lui répondit Louise plutôt outrée par la question,
je vous lai dit, je ne sais rien
Pourtant je suppose que je devrais faire un minimum
de choses sur ce point à mon futur mari !... " Bernard parut soulagé par la réponse de
Louise qui ajouta :
- " Oui, il vaudra mieux en effet, si vous voulez comme vous dites être à la hauteur
... " Puis comme sil se jetait à leau, il ajouta :
- " Bon alors, chère Louise, on y va !... Commençons par le commencement et surtout
pas de dérobade par rapport à ce que je vais vous dire et vous demander, hein ?...
Cest daccord... " Il était debout devant elle ; rapidement il ouvrit sa braguette et
sortit sa bite encore flasque. Létat de son membre indiquait le peu denvie quil
avait de faire ce travail ! La Louise regarda dabord avec une surprise évidente la
verge plutôt mole et de peu de vigueur de Bernard. Sans doute nen avait elle jamais
vu daussi près. Comme pour sexcuser de voir cela elle dit avec un peu détonnement
mais aussi beaucoup dadmiration :
- " Ben vrai alors
Cest fait comme ça ?... Ben ça alors !... Y a pas de quoi se
battre pour ça, hein
Dire quil paraît que ça fait courir beaucoup de bonnes femmes !
" Et après une petite pause, elle ajouta
- " Pourtant celle-là me paraît plutôt belle et belle taille !... Par rapport à celle
de mon père sentend, car je nai pas dautres points de comparaison !!..."
Sur un ton qui se voulait très détaché, Bernard qui essayait dêtre très professionnel
lui dit :
- " Voilà Louise, ce que vous avez là sous les yeux est un sexe dhomme. Autrement dit
une verge... Que lon nomme plus familièrement : une bite, ou une pine, ou encore un
chibre
Vous pouvez aussi le toucher
Allez-y, prenez-le en main, insista-t-il, il ne
mord pas savez-vous ! " Louise hésita un court instant et tendit sa main pour
semparer de la verge quelle saisit au niveau de la hampe.
- " Oh lala, cest doux, fit-elle surprise. " Elle nosait pas bouger tant elle était
admirative du membre qui sous leffet de la prise en main, commençait à grossir à vue
dil.
- " Oh et puis, dites docteur, ça grossit
Est-ce normal ?", dit-elle étonnée.
- " Oui, dit Bernard qui essayait de conserver un ton détaché. Quand on la caresse,
elle grossit et se redresse. Cela sappelle : bander. Chez lhomme, cest essentiel
pour quil puisse aller se mettre dans le sexe de la femme
"
- " Ah bon, fit-elle surprise. Dans le sexe de
Eh ben, comme vous y allez !... Nous
nen sommes pas là !... Et quand on est marié, on doit faire ça souvent ?
- " Souvent
Souvent
, fit Bernard qui, surpris par la question, restait évasif. Au
moins une fois par semaine et si possible plusieurs fois dans une semaine
"
- " Hein ?... Plusieurs fois par semaine ?!, sinquiéta la Louise
Mais dites, pour
les vaches, on les met au taureau deux fois par an et encore pas toutes les années!"
Louise était visiblement très décontenancée par la réponse du magnétiseur.
Elle ajouta :
" Eh, dites
, ça ne fait pas mal au moins !", demanda-t-elle inquiète.
- " Bien sûr que non, fit Bernard impatienté. Pas mal, non, même au contraire ! Cela
fait beaucoup de bien si cest bien fait ! Cest pour ça que vous êtes venue, non ?...
Pour apprendre !... Alors allez-y Louise, caressez-la bien, en faisant aller et venir
votre main comme ça
" Il lui avait saisit la main et lui faisait faire le mouvement
sur sa verge. Sous leffet de la caresse qui se précisait, Bernard bandait de plus en
plus. La bite maintenant se redressait complètement et arrivait sous le nez de la
Louise. Celle-ci était émerveillée devant tant de magie :
- " Oh oui, docteur. Ca bande !... Hein, cest comme ça que lon dit ?... Oh oui,
elle a grossi et là elle relève bien la tête !!... "La bite bande, hein !" Oui, vous
voyez que jai compris et que jai bien retenu la leçon !...". Brusquement elle arrêta
le mouvement :
- " Eh mais docteur, attention : au bout votre peau senlève toute !... Cela doit
faire mal !... "
- " Non, non répondit Bernard, qui maintenant commençait à souffler plus court. Non,
Louise, cela est très normal. La peau doit dégager comme ça le bout là, que lon
appelle le gland
- " Comme le gland du chêne, docteur ? Cest vrai que cela fait penser au gland de
larbre avec le dessus lisse qui sort de la peau !... "
- " Oui, cest bien ça... Et pour lhomme, il est important de faire sortir son gland
quand il bande
Et ce que vous faites-là maintenant, avec ce va-et-vient de votre
main, cela sappelle : branler
Branler la bite ! Toutes les épouses doivent savoir
faire ça à leur mari !... Et je dois dire que pour une première fois, vous le faites
très bien, cela me fait beaucoup deffets !... Dailleurs, regardez le membre qui
grossit de plus en plus : il aime beaucoup comme vous le branlez
"
- " Ho là, vous savez docteur, je nai pas de mérite ! Cest exactement comme ça que
je trais mes vaches
Quand je leur prends la mamelle pour les traire, je fais
exactement ce même mouvement !... Par contre, je ne savais que lon appelait cela :
branler !
Et vrai que là, ça, je saurai le faire docteur !...", dit-elle en branlant
le vit de Bernard dun tour de main expert
Le magnétiseur, commençait donner des
signes dexcitation et moi-même javais la bite qui elle aussi grossissait dans mon
slip.
- " Voyez-vous Louise, dit Bernard, quand nous en sommes là, lorsque la pine est très
raide et dressée, la femme doit la mettre dans sa bouche et la sucer pour continuer à
bien faire bander lhomme et aussi pour lui faire du bien
"
- " La sucer docteur ? Mais vous ny pensez pas !..., dit La Louise, qui nen
revenait pas
Mais docteur, je ne fais pas cela aux tétines de mes vaches ! Et puis ça
doit avoir un goût particulier !... Beurk !!..." fit-elle dégoûtée
- " Mais non, Louise, vous verrez, cest très bon ! Et puis, je vais vous apprendre à
faire cela comme il faut
De toute façon vous êtes venue pour que je vous apprenne oui
ou non !?... Alors vous le faites et sans rechigner comme vous lavez promis. De
plus, chaque femme doit savoir faire ça à son homme, non ? Alors
" Bernard défit sa
ceinture, laissa tomber à ses pieds slip et pantalon et avança sa bite vers la bouche
de la Louise. Celle-ci la prit en bouche avec une grimace, et sembla attendre ne
sachant que faire de plus.
- " Eh bien voilà dit Bernard, qui visiblement appréciait cette mise ne bouche. Mettez
une main sous mes couilles, là comme ça et caressez-les doucement. De lautre
continuer de branler la tige de la verge. Et avec la bouche, aspirez et pompez bien en
serrant les lèvres sur la tige. Là comme ça
Entrez-la plus à fond dans la bouche et
puis ressortez là un peu, avec du va-et-vient
Là, daccord
En même temps passez la
langue bien partout sur la tête
, sur le gland
Et branlez bien la tige avec votre
main ; vous sentez comme elle bande bien ? ". Louise nosait pas lâcher le morceau et
faisait tout ce que lui demandait Bernard, avec une application extrême et en roulant
en tous sens ses yeux ronds. Elle pompait en même temps quelle branlait et aspirait
puis léchait la tête du nud de sa langue agile
Bernard était bien monté et son engin
occupait toute la bouche de la Louise qui ne ménageait pas sa peine, comme pour plaire
à son précepteur !... Le magnétiseur en tirait manifestement du plaisir tout en
continuant de la guider :
- " Oui, vas-y là, ma belle
Tu vois que tu suces bien. Là, maintenant passe bien ta
langue sur le trou de la bite là, en haut
Là, tu le vois le trou sur le sommet du
gland ? Tu appliques bien ta langue dessus quand tu pompe
Oui, comme ça
putain que
cest bon
Et maintenant, tu vas bien faire tourner ta langue tout autour du bout, là
à la base du gland
Oh lala, tu apprends vite !.... je vais faire de toi une jolie
salope !
" Tout à coup, la Louise désemboucha lénorme braquemart du faux docteur :
- " Ohooohhh, docteur, voilà que ça me démange là, en bas
Et ça me démange énormément
!!... Est-ce que je peux me gratter, docteur ?!... Il faut absolument que je me
gratte, je ne peux plus tenir !
" Promptement Bernard la fit se lever de la chaise où
elle était assise et lemmena sur la table dauscultation où il la renversa sur le
dos. Il la troussa prestement et lui descendit rapidement son horrible culotte blanche
sans doute en coton. Il lui mit les jambes gainées de bas noirs dans le plus
écartement. Sa bite dressée comme jamais, était juste dans lalignement de la chatte
noire de poils de la Louise. Je me suis dit quil allait la baiser directement et sans
la préparer tant son vit était tendu. Je bandais comme un fou, au point que je dû
libérer ma bite tendue du slip et de mon short. Quelquun qui serait arrivé dans le
couloir à cet instant, aurait pu me voir, sous lescalier, debout sur une chaise face
au mur, le nez dans limposte, le short et le slip sur les talons et la pine bandée à
la main
Heureusement dans ces situations là, le ridicule ne tue pas !
Bernard, debout entre les jambes écartées de la Louise renversée, le dos sur la table,
avait la bite à quelques centimètres de la fente noire de la fermière. Il ne la
baisait pas. Il la branlait. De sa main gauche, il lui frottait la motte et sans doute
le clitoris ; je ne pouvais discerner en raison de la distance et surtout de
linvasion des poils. Visiblement, la chatte de la Louise navait jamais été
entretenue ! Bernard de la main droite lui avait mis un doigt dans le trou du con et
il la branlait dun mouvement de va-et-vient qui devenait de plus en plus frénétique.
La grande femme soupirait de plus en plus fort et de plus en plus vite, avec des râles
de plus en plus longs et rauques
Sans doute navait-elle jamais été branlée comme ça
!
- " Oh dis-donc, cest super !
Tu es étroite
Un doigt suffit à bien te boucher le
trou ! On voit que tu es vierge, ma belle
Un trou où il ny a jamais eu une seule
bite qui y soit entrée !!... Cest un plaisir sans nom de branler une vierge, surtout
de ton âge !... Putain, si je ne me retenait pas, je te baiserai bien à fond !..."
Mais il voulut rester pédagogue jusquau bout et plutôt que de senfourner tout de
suite au trou de la foufoune de la paysanne, il vint chercher la main droite de la
Louise et la dirigea jusqu'à la fente de cette dernière.
- " Voilà, laisse-moi te guider et tu vas te finir toute seule
Viens mettre le doigt
de ta main ici sur ton clito et frotte-le bien ; tandis quavec lautre main, tu mets
ce doigt dans ton trou et tu branles bien à fond
Nest-ce pas que cest bon ?... Vas-
y, branle-toi bien de plus en plus vite et de plus en plus fort
Avec moi
là comme ça
!!... "
La Louise ne tarda pas à être submergée et se mit à geindre puis à râler avec force.
Elle partit en torche et fut agitée de convulsions et de soubresauts qui secouèrent
fortement la table dauscultation. Puis après quelques secondes, elle retomba inerte
Elle avait sans doute déchargé car je vis un instant la bite tendue de Bernard,
luisante de mouille alors quil ne lavait pas mise au trou
Tandis que la Louise
sapaisait, il sastiqua lengin à deux ou trois reprises, il déchargea en abondance
son foutre sur le ventre de la fermière qui, surprise releva la tête avant de se
replonger dans son plaisir post-jouissance
Je ne pouvais tenir plus longtemps. Je me défis en hâte de mes vêtements qui
mentravaient les pieds et la bite à la main je me précipitais dans le cagibi -
toilette à deux pas de là. Je neu pas le temps de my enfermer que mon vit bandé
crachait à laronde sa laitance, servant dans un même élan salvateur le lavabo, la
glace et le siège des toilettes
Je fus apaisé dun coup. Je pris le temps de
messuyer la bite qui déjà samollissait. Je nettoyais rapidement le lieu et je sortis
du cagibi en catimini, la pine et les fesses à lair, en priant le ciel que personne
nemprunterait le corridor avant que jai pu récupérer mes affaires sous lescalier.
Finalement jy arrivais sans encombre et je mhabillais rapidement
Vite, je remontais à mon observatoire. Il ne sétait pas écoulé plus de deux minutes,
mais déjà, les deux protagonistes sétaient rhabillés et avait repris leur place.
Bernard derrière son bureau et Louise penchée en avant pour écouter ce quil lui
disait :
- " Bien, maintenant Louise, vous allez rentrer chez vous. Cest suffisant pour une
première fois
Et pour le suite, nous verrons ce que nous pourrons faire
". Louise
insistait :
- " Docteur, jai comme limpression que vous ne mavez pas tout dit
Il ne faut rien
me cacher, hein, cest pour la bonne cause
Jai compris tout de suite que vous
sauriez me dire ce quil faut et comme il faut
", dit-elle, affirmative.
- " Oui, bien sûr, répondit Bernard, dont je sentais quil ne savait pas trop quoi lui
dire au juste. Bien sûr il y a encore du travail à faire et je dois vous faire encore
quelques
soins ! Mais pour linstant vous rentrez chez vous et lon se revoit la
semaine prochaine
. Dici là, tous les soirs, vous vous caresserez comme je vous ai
montré. Tous les soirs, hein !... Il faut rattr le temps perdu !..."
- " Oui, ça jai compris, coupa Louise, dites-moi carrément : branlez-vous bien
jusquau plaisir !... Comme tout à lheure ! Cest vrai que je navais jamais connu
ça !!... Ha lala
Va, ça je noublierai pas docteur, vous pouvez me croire !... "
- " Oui, cest ça, allongez-vous bien confortablement sur votre lit et branlez-vous
bien, le plus souvent et le plus longuement possible, cela fera cesser les
démangeaisons !... "
Cétait là une prescription plutôt sympa, non ?
Je pensais à mon lycée : dommage quils ne nous donnent pas ce genre de devoirs à la
maison ! Et dailleurs, le soir même je mappliquais à la lettre la prescription de
Bernard pour le travail à la maison. Repensant à ce que javais vu dans laprès-midi,
je me branlais à mon tour en pensant à la grande fermière dont javais vu lentrejambe
pourtant pas ment très sexy, mais qui du haut de mes 16 ans, me faisait quand
même rêver
Fin du premier épisode (a) de "La Louise".
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